Des lignes marquées, d'un bout à l'autre de l'habitacle, séparent les différentes zones de la planche de bord.
Le combiné des instruments et l'interface homme-machine sont situés sur la même ligne.
Sous l'interface figure une colonne de commandes intégrant les commutateurs du système de ventilation et climatisation, ainsi que les commutateurs des différents systèmes d'aide à la conduite.
La console centrale ergonomique est inclinée légèrement vers le conducteur.
L'architecture du Kia e-Niro permet de disposer d'une position d'assise légèrement surélevée.
La position de conduite est confortable et relaxante.
Les sièges avant sont conçus pour absorber davantage de vibrations grâce à un rembourrage de plus haute densité et des armatures en acier haute résistance, minimisant la fatigue sur les longs trajets. Les ressorts et coussins ergonomiques offrent un bon maintien au niveau des cuisses, des hanches et des flancs.
Les sièges sont confortables.
La cinquième place centrale arrière étroite manque de confort.
Les occupants des places arrière bénéficient d'une longueur aux jambes 914 mm, d'une largeur aux épaules de 1 423 mm à l'arrière et d'une hauteur sous pavillon de 957 mm. Des cotes suffisantes pour des adultes de grandes tailles.
Le Kia e-Niro est équipé d'une suspension avant indépendante à éléments MacPherson et d'une suspension arrière indépendante multibras, avec deux bras inférieurs. Chacune des roues arrière est capable d'absorber les bosses et les chocs indépendamment.
Pour limiter les bruits d'écoulement d'air à vitesse élevée, le e-Kia Niro a recours à un vitrage acoustique au niveau du pare-brise et un déflecteur au-dessus des essuie-glaces afin de réduire les turbulences de l'air, à la base du pare-brise.
Les bruits de sifflement du vent sont également minimisés grâce au profil des rétroviseurs extérieurs et à l'obturation des orifices des barres de toit (accueillant les barres transversales).
Pensez-vous que les résultats des élections européennes vont remettre en question l’interdiction de la vente des véhicules thermiques à l’horizon 2035 ?