La promesse de la 
mobilité autonome ne se limite pas à un bond technologique, elle représente une transformation profonde en matière de sécurité, de confort et d'accessibilité, déjà en cours avec les véhicules de niveau 3 sur les routes européennes et les systèmes de niveau 4 actuellement testés en conditions réelles (Allianz assure des zones de test dans plusieurs pays, dont l'Allemagne, la Norvège et Singapour).
« La mobilité autonome n'est plus une question de "si" mais de "quand". Il s'agit de savoir à quelle vitesse, avec quel niveau de sécurité et dans quelles conditions d'équité elle se développera. Chaque avancée technologique doit se traduire par moins d'accidents, moins de victimes et plus d'autonomie pour des millions de personnes » explique Klaus-Peter Röhler, Member of the Board of Management of Allianz SE, Insurance German Speaking Countries, Central Europe, Global Property & Casualty. 
Selon l'étude Allianz « Mains libres : la promesse de sécurité de la mobilité autonome », conduite dans sept pays européens (France, Allemagne, Autriche, Italie, Suisse, République tchèque et Royaume-Uni) en juin et juillet 2025 auprès d'un échantillon de plus de 8 000 personnes, 
la perception de la conduite automatisée est partagée.
Si les Européens expriment une 
confiance globale dans les bénéfices attendus en matière de sécurité et de confort, des doutes persistent quant à la maturité technologique des systèmes de 
conduite autonome. En France, le public se montre plus réservé, combinant curiosité et prudence, signe d'un intérêt réel mais encore mesuré pour la conduite autonome.
Près d'un Français sur trois (33 %) se déclare déjà familier avec ces technologies.
« Ces résultats sont très encourageants pour l'acceptation et l'adoption des véhicules autonomes dans un futur proche en France, et pourraient s'expliquer par la très large diffusion des ADAS dans les véhicules du parc français. », déclare Béatrice Najean-Lenormand, responsable 
Auto Particuliers chez Allianz France.
Les Français associent la conduite automatisée à un gain de confort personnel :48 % espèrent pouvoir profiter du trajet pour d'autres activités,
43 % attendent une réduction du stress,
Contre 37 % qui citent spontanément un gain de sécurité.
Cette hiérarchie contraste avec la moyenne européenne, où la sécurité arrive en tête (56 %) des bénéfices perçus, devant le confort (50 %).
Les Français perçoivent un fort intérêt sociétal : 62 % estiment que la conduite automatisée pourrait faciliter la mobilité des publics fragiles (personnes âgées, enfants ou personnes en situation de handicap). Ce chiffre se rapproche de la moyenne européenne (65 %).
La confiance des Français dans la conduite automatisée demeure mesurée :53 % jugent la conduite automatisée aussi sûre ou plus sûre que la conduite humaine (contre 56 % en Europe) ;
71 % doutent de la fiabilité des véhicules autonomes dans les situations imprévues (contre 69 % en Europe) ;
76 % estiment la technologie encore trop récente et insuffisamment testée (contre 72 % en Europe).
La possibilité de reprendre la main à tout moment est jugée cruciale par 88 % des Français, contre 64 % en moyenne européenne.
Source : Rapport Allianz « Hands Off - la promesse de sécurité de la mobilité autonome »
Méthodologie: Etude sur la perception de la conduite automatisée dans sept pays européens (France, Allemagne, Autriche, Italie, Suisse, République tchèque et Royaume-Uni) en juin et juillet 2025 auprès d'un échantillon de plus de 8 000 personnes
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